Hygiène vitale et capital santé
Aucun bien n'est plus précieux que la santé. Et si, la retrouver aujourd'hui, nous coûte si cher, c'est que nous n'avons pas fait le bon choix, en oubliant peut-être le seul fait que notre corps n'est pas seulement fait de matière mais qu'il possède réellement des forces qui l'animent et tendent à la maintenir en bonne santé tant qu'il obéit aux exigences de la nature.
Notre corps possède une intelligence vitale
Ainsi est-il permis à chacun de vivre en fonction des besoin de son organisme. Si par mégarde ou maladresse nous perdons temporairement la santé, des pratiques simples d'hygiène vitale nous permettrons de retrouver très rapidement la forme. D'ailleurs la plupart du temps, le repos et un petit jeûne en hydratant et drainant nos émonctoires par des tisanes, suffisent à rétablir un équilibre rompu. C'est bien que notre corps possède cette intelligence vitale qui lui permet de se régénérer, alors que l'organisme n'a rien reçu.
Il ne nous est pas permis de vivre n'importe comment et nous devons respecter les mécanismes de la physiologie en rapport avec le milieu naturel dans lequel nous vivons. Le simple fait de le comprendre et de suivre ces principes, c'est le rôle de l'hygiène vitale, nous donne en échange la santé, et c'est à chacun de nous de la préserver.
Comment fonctionne notre corps ?
Avant de donner des conseils de forme et santé, il est nécessaire de comprendre les mécanismes de notre organisme.
Une hygiène de vie bien conçue doit impérativement tenir compte de ces 3 facteurs :
- savoir choisir ses aliments ;
- surveiller ses éliminations ;
- économiser son énergie nerveuse.
A chaque moteur correspond un carburant qui lui est spécifique. Le "moteur humain" n'échappe pas à cette règle et tous les aliments ne lui conviennent pas. Il importe de choisir des aliments qui correspondent en priorité à nos aptitudes digestives.
Une alimentation en rapport avec le système digestif
Parmi les modèles digestifs qui existent dans la nature, celui de l'homme peut être comparé à celui du singe. Les rapports anatomiques et biochimiques de la digestion nous indiquent que l'alimentation de l'homme doit être sensiblement celle de l'anthropoïde.
Dans son milieu originel, cet animal consomme des fruits et des pousses végétales tendres, des petits insectes, parfois des œufs ou des coquillages, si son habitat se situe sur les rivages côtiers. Cette forme d'alimentation lui donne tout ce dont son organisme peut avoir besoin. Le fait de modifier son régime, en lui ajoutant des aliments semblables à l'alimentation industrielle de notre vie moderne (pâtes, pâtisserie, viande, laitages, additifs, colorants, conservateurs, exhausteurs de goûts, édulcorants, antioxygènes...) provoque chez l'animal des désordres au niveau des voies respiratoires, des intestins, de la peau. Ces troubles disparaissent naturellement en redonnant à l'animal son alimentation spécifique. Une aide supplémentaire peut lui être apportée par le nettoyage des filtres épurateurs (foie, reins, intestins, poumons, peau), avec les plantes par exemple, pour que les déchets de la mauvaise alimentation s'éliminent hors du corps.
Le choix de l'alimentation joue un rôle déterminant dans la santé car elle apporte à l'organisme les substances nutritives indispensables, auxquelles va s'ajouter l'énergie vitale des aliments crus.
Consommer un maximum d'aliments "vivants" et crus est extrêmement important, car la cuisson détruit les principes vitaux (vitamines, minéraux, oligo-éléments, fibres alimentaires). Un aliment cuit n'apporte plus de vie et certains de ses composants ont disparu. Les molécules se disloquent à la chaleur et donnent naissance à des composés toxiques tels que les acroléines obtenues à partir d'huile brûlée.
L'alimentation vivante consiste à consommer régulièrement des graines germées, des fruits et légumes crus fraîchement cueillis, des céréales complètes de préférence de culture biologique et des aliments les moins dénaturés possible. A Perpignan, nous avons la chance d'avoir un superbe marché de producteurs bio le samedi matin sur la Place République avec légumes et fruits fraîchement cueillis de saison, pain bio aux céréales complètes, coquillages de l'étang tout proche, et autres produits du terroir.
Les graines germées sont étonnantes par leur richesse en éléments nutritifs et il est très plaisant de jouer au jardinier d'appartement pour obtenir de jeunes pousses et disposer de végétaux d'une extrême fraîcheur, sans oublier les herbes aromatiques fraîches qui pourront pousser même sur une petite terrasse. Un bon jardinier en graines germées sera équipé d'un germoir, d'un point d'eau, de graines diverses pour varier les plaisirs : lentilles, soja vert, luzerne, fenugrec, trèfle, blé, carotte, fenouil, radis... Un peu d'attention et un arrosage par jour et 2 ou 3 jours plus tard, il pourra récolter...
La germination permet de "réveiller" la graine et par cette action d'augmenter considérablement sa valeur nutritive en vitamines minéraux. Pour vous donner un exemple prenons le blé, après 5 jours de germination, sa teneur en vitamine C est augmentée de 600%, de 300% pour la vitamine A et B2, de 200% pour la vitamine B6. Le germe de blé renferme également E, D, B1, B3, B5, B8, B9, des minéraux (magnésium, calcium, potassium, phosphore, sodium, chlore, soufre, cuivre, manganèse, fer) des protéines et des fibres.
Il est pour nous quasiment impossible de se nourrir que d'aliments crus, le monde moderne nous a habitué aux bons petits plats chauds bien mijotés. Il faut juste savoir se faire plaisir de temps en temps tout en adoptant une alimentation qui intègre la diversité et le vivant. Car le jeu en vaut la chandelle : consommer régulièrement des aliments crus et vivants aide à se maintenir en bonne santé et contribue à préserver, voire améliorer, son dynamisme, ses facultés physiques et mentales.
Que faut-il faire pour bien digérer ?
La digestion consiste à réduire les aliments en éléments simples capables d'être absorbés par l'intestin et utilisés par nos tissus. De la bouche à l'anus, les aliments sont progressivement dégradés dans des poches digestives qui sécrètent en fonction de la composition de l'aliment. Les protides subissent leurs transformations dans l'estomac et le grêle ; les amidons dans la bouche et l'intestin grêle ; les sucres dans le duodénum ; les graisses dans le duodénum et le grêle.
La digestion est réussie lorsque tous les aliments ingérés sont assimilés et que les résidus, comme la cellulose des végétaux, sont rejetés.
La durée d'une digestion varie selon le volume du bol alimentaire , la nature des aliments qui le compose et surtout en fonction du nombre d'aliments pris au même repas. Le mélange allonge les temps de digestion en les multipliant par 2 ou par 3. Ainsi, un repas composé de crudités, d’œufs ou de poissons, accompagnés de légumes verts cuits, s'assimile au bout de 4 heures. En ajoutant seulement du pain, on devra compter 2 ou 3 heures de plus. Si on termine le repas par une pâtisserie, 2 ou 3 heures supplémentaires seront nécessaires. Le café, le vin, freinent encore la digestion.
Face à ces lenteurs digestives qui entraîne à la longue un épuisement de l'organisme, il est conseillé de dissocier les aliments. Ce qui permet de manger de tout, mais pas au même moment. Les digestions deviennent alors très rapides et, entre deux repas, les glandes digestives trouvent le temps de se recharger. C'est un moyen simple pour améliorer ses aptitudes digestives, mais aussi pour les économiser.
Une bonne assimilation implique une bonne digestion et permet la nutrition correcte des cellules. La plupart du temps on mange beaucoup trop et les aliments mal transformés ne sont pas assimilés par l'organisme. En augmentant la ration alimentaire pour être mieux nourri, on l'est de moins en moins car les digestions sont de plus en plus difficiles et imparfaites. En procédant ainsi, on augmente surtout la masse de déchets à éliminer. De nombreuses fois, nous avons pu faire grossir des enfants en réduisant tout simplement leur ration alimentaire.
Ceux qui mangent peu assimilent mieux et préservent ainsi leurs fonctions digestives.
Une assiette de légumes variés crus au début du repas apporte l'énergie nécessaire à la digestion. Il est important que le repas du soir soit léger, très digeste, car la nuit est la période de nettoyage et de l'épuration. On ne peut pas demander au corps de digérer et d'éliminer en mêle temps. Une salade accompagnée d'une crudité, ou une soupe épaisse, une céréale et un peu de fromage pour les plus gourmands doivent suffire.
La ration alimentaire quotidienne
La ration alimentaire quotidienne doit couvrir les besoins de notre organisme dans toutes les catégories alimentaires : protides pour les tissus plastiques ; sucres pour les besoins énergétiques ; graisses pour les réserves ; oligo-éléments qui sont les catalyseurs des métabolismes cellulaires. Tous ces produits doivent être contenus dans l'apport alimentaire.
Le choix des aliments est essentiel et s'effectue non pas en fonction de leur richesse mais selon des critères de spécificité : à savoir facilité de digestion, valeur nutritive au moment de l'assimilation, et en plus de l'apport de substances énergétiques, les indispensables vitamines, hormones, diastases et minéraux. Ces derniers éléments n'existent que dans l'aliment cru car la cuisson les détruit.
La seule méthode pour conserver ces substances rares et vitales pour notre organisme, est de manger cru. Comme il est impossible de consommer tout cru, l'idéal est de composer chaque repas d'une entrée à base de crudité pour être sûr d'avoir sa ration quotidienne d'aliments crus.
Effectivement un plat de crudités au début de chaque repas dynamise l'aliment cuit qui l'accompagne (viande, poisson, féculent ou céréales, pain). La prise de fruits frais entre les repas (à 10h00 et à 17h00) apporte les oligo-éléments indispensables à nos tissus en même temps qu'il revitalisent les glandes digestives. L'aliment cru contient, en plus de ces constituants matériels, des énergies vitales. Elles sont indispensables pour maintenir le potentiel énergétique qui, actuellement, fait le plus défaut à l'homme.
L'aliment vivant n'est pas le seul à apporter de la vie à notre corps. Nos compléments alimentaires naturels et nos tisanes proposés sur notre site de l'herboristerie moderne, permettent également de palier les carences d'une alimentation déséquilibrée.
Dans l'intestin, la totalité de l'aliment n'est pas assimilée et les résidus sont évacués par le gros intestin sous forme de selles. Leur composition dépend de la nature des aliments consommés. Les viandes et les amidons (des céréales raffinées) produisent une grande quantité de déchets ; déchets instables qui en putréfiant et fermentant donnent naissance à des poisons intestinaux. Ces poisons sont générateurs de manifestations digestives plus ou moins gênantes qui aboutissent à une intoxication de l'organisme. Il est préférable de réduire les viandes et les amidons et les accompagner obligatoirement de légumes crus et cuits, qui par leur richesse en cellulose, éviteront la stagnation des résidus dans l'intestin.
Par contre les œufs, les fruits de toutes natures, produisent peu de déchets. Leur digestion est très facile et leur apport nutritif de premier ordre.
Comment surveiller ses éliminations ?
Le corps rejette deux sortes de déchets : les résidus alimentaires et les produits de dégradation de l'activité cellulaire. Ces éliminations se font par les 4 systèmes épurateurs que sont l’intestin, les reins, la peau, les poumons.
Bien se nourrir est la première des règles, mais, bien éliminer est un facteur aussi important dans l'art de rester en bonne santé. Chaque jour le corps élimine les déchets du métabolisme avec un rythme et un volume relativement régulier. L'intestin évacue en moyenne deux selles par jour, les reins 1.5 litres d'urine par 24 heures, la peau 1 litre environ de sueur, les poumons du gaz carbonique et de la vapeur d'eau.
La surveillance émonctorielle doit viser à maintenir ce degré d'épuration. Si le nombre de selles se réduit à une, alors que les trois repas quotidiens sont maintenus, il est nécessaire de stimuler l'intestin par des plantes qui favorisent le transit et qui évitent les flatulences comme par exemple l'anis vert, le fenouil... Elles peuvent être utilisées par cure de 8 à 15 jours pour dégager et aider la fonction intestinale à reprendre son rythme.
Le bon fonctionnement des reins se vérifie par une urine abondante et surtout colorée. La coloration jaune d'or indique que l'urine est riche en déchets. La pâleur, voire la limpidité des urines témoigne d'une insuffisance rénale. Si celles-ci sont chargées le matin et s'éclaircissent au cours de la journée pour devenir comme de l'eau, c'est que les reins manquent d'énergie pour remplir normalement leur fonction filtrante. Ils rejettent l'eau mais laissent les poisons au niveau du sang. On peut améliorer cet état par la prise de plantes drainantes des reins comme par exemple l'aubier de tilleul, le chiendent, le pissenlit, la reine des près... La cure s'étale sur 8 à 10 jours et peut être renouvelée périodiquement si nécessaire. La chaleur d'une bouillotte chaude, placée en haut du dos, aide aussi les reins à mieux éliminer.
Favoriser la transpiration
J'ai l'habitude de dire que nous avons 3 reins, nos 2 vrais reins et celui que j'appelle le 3ème rein qui est la peau !!! Pour s'en rendre compte, il suffit de se peser le soir juste après être allé aux toilettes, et de se peser à nouveau au saut du lit avant d'aller aux toilettes; il est fréquent que l'on ait perdu entre 500 g et 1 kg, dans la nuit !
La transpiration met en œuvre, et les glandes sudoripares (pour évacuer l'"eau") et les glandes sébacées (pour évacuer le "gras" ).
La transpiration représente une aide importante dans l'épuration. Par sa qualité, la sueur peut être comparée à de l'urine diluée (elle contient avec une concentration moindre tous les composants de l'urine).
La peau avec ses glandes sudoripares agit comme l'émonctoire rénal en retirant les déchets cristalloïdaux de la circulation sanguine. Par la sudation, on est en mesure de forcer cette épuration naturelle en répartissant sur toute la surface du corps les déchets. La sudation s'obtient facilement par des bains chauds dont la température est supérieure à 37°, sans dépasser 40°.
Il n’y a pas de température idéale, c'est à chacun de chercher, en augmentant progressivement la chaleur, le degré optima qui déclenche la sueur, sans toutefois ressentir de malaise. A la sortie du bain on s'enveloppe dans un peignoir afin que la sudation continue.
Ce bain super-calorique peut être répété quotidiennement, surtout en hiver pour les sujets dont la fonction cutanée est bloquée par le froid. Le sauna ou le hammam demeurent d'excellentes méthodes et leurs pratiques devraient se généraliser à raison d'une à deux séances par semaine.
L'exercice physique, une panacée pour stimuler les émonctoires
Pendant l'effort physique, les glandes sudoripares et sébacées sont activées. Ces dernières rejettent le sébum (sueur riche en colles) et ne sont sollicitées que par le jeu musculaire. La sueur produite par l'exercice physique permet à l'organisme d'éliminer les toxines accumulées et des résidus souvent responsables de dysfonctionnements des organes. Il est d'ailleurs facile de constater qu'après une séance d'exercices physiques ou de footing, la sueur sécrétée est grasse et nécessite l'usage du savon. Alors qu'après un sauna, la sueur qui est très salée est nettoyée par une simple douche.
L'exercice n'est pas seulement sudorifique, il accélère en même temps la ventilation pulmonaire, fonction très importante puisqu'elle retire le gaz carbonique du sang, qui résulte de la combustion de l'oxygène par nos cellules.
Pour obtenir une bonne désintoxication, l'exercice doit aboutir à un essoufflement comme dans la course à pied. L'élimination du gaz carbonique ainsi que la fixation de l'oxygène dépendent du débit sanguin au niveau pulmonaire. L'effort physique maintenu pendant un certain temps, permet seul de réaliser véritablement ce phénomène. Au moins une séance d'exercice physique par semaine est particulièrement recommandée pour les personnes ayant une activité sédentaire.
Il faut d'ailleurs remarquer que l'exercice physique est la méthode polyvalente pour stimuler les émonctoires : l'intestin est auto-massé par les muscles de la ceinture abdominale, le péristaltisme (contraction) est alors augmenté, ce qui permet de mieux aller à la selle. Quand aux reins, soumis à un fort débit sanguin provoqué par l'effort, ils filtrent une plus grande quantité de sang et augmentent ainsi l'épuration. La sédentarité entraîne, nécessairement, un ralentissement de l'élimination.
Prenez des "bains de lumière"
Sur la terre, tous les êtres vivants dépendent du soleil et l'homme ne fait pas exception à la règle. Ainsi les bains de lumière sont conseillés en période hivernale, car il n'est pas nécessaire pour cela de s'exposer directement aux rayons solaires (bronzage sur la plage). Vous pouvez tout simplement vous dénuder devant la lumière du soleil, derrière une vitre par exemple, et vous ne tarderez pas à en ressentir les effets : vous vous rechargez très rapidement en énergie. D'ailleurs, vous en avez toutes les preuves avec vos plantes vertes d'intérieur qui se dirigent vers la lumière. Je reconnais que nous avons la chance d'habiter une des régions les plus ensoleillées de France : le Roussillon est baigné par le soleil et il y fait bon vivre, et j'ai , au moment où j'écris, une petite pensée pour les personnes qui résident dans la partie Nord de la France, il ne tient qu'à vous de capturer les rayons du soleil au moment où ils se présentent !
Comment économiser son énergie nerveuse ?
Notre corps est animé par une force vitale. Celle-ci semble se situer dans le système nerveux et les glandes endocrines.
Ce capital vital nous est légué à la naissance. De son utilisation dépendra la qualité et la longévité de notre vie. Pour atteindre 100 ans, il faut avoir été doté de bonnes glandes, d'un bon système nerveux et de plus, avoir su conduire son moteur organique en lui demandant le maximum sans toutefois le surmener. D'un individu à l'autre, ce capital varie car l'hérédité donne à chacun de nous des aptitudes différentes. Mais ce qu'il est important de constater, c'est qu'en étant doté d'une vitalité faible à la naissance, on peut, en sachant vivre, atteindre dans d'excellentes conditions, un âge très honorable. Par contre des sujets particulièrement gâtés, peuvent par des erreurs d'hygiène de vie, rencontrer divers dysfonctionnement et même mourir prématurément.
De nombreux facteurs contribuent à détruire le capital vital. Les faux aliments tel que le café, l'alcool, le sucre, malgré leur effet momentanément euphorisant, épuisent les réserves nerveuses et les glandes endocrines. L'énervement constant, les soucis de la vie quotidienne, le mode de vie moderne qui nous demande de fournir toujours plus, toujours plus vite, sont responsables des états dépressifs qui touchent plus de la moitié de la population des grandes villes. Nos cités modernes, par la concentration des individus, qui réduit l'espace de chacun, le bruit, la pollution industrielle et celle des moteurs automobiles, les habitations de béton bardées de ferrailles, les ondes électromagnétiques des téléphones portables, des réseaux Wifi, des antennes relais, agressent insidieusement notre organisme. Dans un premier temps, notre corps s'en défend en stimulant ses énergies, puis, il se replie sur lui-même pour se caparaçonner. Les conséquences sont le gaspillage vital et l'augmentation des états de mal être.
C'est pourquoi, il est important de s'immerger au moins une fois par semaine à la campagne pour se ressourcer. Là, les couleurs de la nature, les parfums parfois fleuris, boisés, épicés, le vert des arbres, le bleu du ciel, le vent qui nous frôle et nous caresse, etc, font partie de l'ensemble des vibrations vitalogènes dont se nourrissent nos glandes et notre système nerveux.